Une centaine d'outils gratuits
Convertissez vos fichiers, compressez-les, retirez l'arrière-plan d'une image… Framatoolbox vous offre accès à une centaine d'outils en tout genre !
Accompagnés de chercheuses et chercheurs venus de disciplines variées, Laura Raim et Youness Bousenna explorent dans cette collection documentaire les grands sujets de société et les questionnements qui font débat aujourd'hui dans le champ intellectuel.
Qu’est ce que le consumérisme ? Comment s’habitue-t-on à surconsommer, au point d’en oublier comment faire sans, comment on faisait avant, comment on fera après ? Pour répondre à ces questions, Jeanne Guien se tourne vers des objets du quotidien : gobelets, vitrines, mouchoirs, déodorants, smartphones. Cinq objets auxquels nos gestes et nos sens ont été éduqués, cinq objets banals mais opaques, utilitaires mais surchargés de valeurs, sublimés mais bientôt jetés. En retraçant leur histoire, ce livre entend montrer comment naît le goût pour tout ce qui est neuf, rapide, personnalisé et payant. Car les industries qui fabriquent notre monde ne se contentent pas de créer des objets, elles créent aussi des comportements. Ainsi le consumérisme n’est-il pas tant le vice moral de sociétés « gâtées » qu’une affaire de production et de conception. Comprendre comment nos gestes sont déterminés par des produits apparemment anodins, c’est questionner la possibilité de les libérer.
pour contribuer à une société empreinte de justice sociale où le numérique permet aux humain·es de s’émanciper, à contre-courant des imaginaires du capitalisme de surveillance.
Depuis deux ans que l’association Framasoft explore la feuille de route Contributopia, nous avons noté dans nos carnets de nombreuses découvertes, observations et collaborations. Aucune de ces avancées n’aurait pu se faire sans vos dons, qui nous confèrent notre liberté d’action.
D’octobre à décembre 2019, nous allons publier les Carnets de Voyage de Contributopia, afin de partager avec vous les points d’étape des projets en cours. Chaque semaine, sur le Framablog, un à deux billets rendront compte des réflexions, actions et collaborations que nous menons avec de nombreux partenaires.
Retrouvez cette série d’articles directement depuis cette page.
Fraîchement débarqué des années 1980, un gamin découvre comment internet et les nouvelles technologies ont envahi nos vies et modifié notre rapport au monde. Avec candeur, et un bon sens implacable, il pointe les dysfonctionnements de nos sociétés hyperconnectées incarnées par son alter ego adulte, David Snug lui-même. De la dépendance aux smartphones à l’emprise des réseaux sociaux, de Google à Amazon, de l’ubérisation de l’économie de service aux sites de rencontre, rien n’échappe à son regard impertinent et décalé.
Face à la montée de l’extrême droite et à l’intensification de la répression, militer pour l’écologie, c’est aussi apprendre à résister. Investir les interstices, provoquer des dysfonctionnements, nouer des alliances inédites. Mais aussi se heurter à des dilemmes et courir le risque d’être brisé.
Venus d’horizons divers, nous sommes des étudiant.e.s, chercheuses et chercheurs, enseignant.e.s refusant l’hégémonie de savoirs excluants et souvent destructeurs, des déserteurs de l’Éducation Nationale et de la Re- cherche, des militant.e.s de l’éducation populaire, des activistes engagé.e.s dans des lieux et des expériences visant à la reprise d’une autonomie politique et matérielle.
Dans un monde où les crises (climatique, énergétique, sociale, économique) s’intensifient, la « sobriété » s’impose, parfois comme une injonction. Mais une simple obligation peut-elle tenir lieu de finalité ? Cette confusion est à déconstruire. La véritable sobriété ne naît pas d’une contrainte, mais résulte d’une démarche délibérée sur nos besoins essentiels : la frugalité. Loin d’être synonymes, la frugalité (la fin) et la sobriété (les moyens) agissent sur des registres distincts.En puisant dans la philosophie antique, les sciences humaines et une observation aiguisée de notre société, cet essai invite à une introspection radicale sur ce qui est réellement essentiel. Retrouver cette boussole de la frugalité rend la vie plus simple, plus riche de sens, et la sobriété en découle comme une évidence.Cette autonomie regagnée réconcilie l’individu avec son environnement et avec lui-même pour une vie épanouie, libre et engagée, au sein d’une société plus vertueuse.
Que se passe-t-il lorsque, après la science-fiction, la philosophie se saisit de la question des robots ? Ils sont pensés comme des « machines insur
si, dans un monde de plus en plus instable et menaçant, la meilleure préparation aux crises était de miser sur nos liens sociaux plutôt que sur les ressources matérielles ? C’est la proposition du Réseau des tempêtes : que chacun se tisse un robuste filet de sécurité sociale, composé d’un maximum de liens avec ses amis, sa famille, ses voisins, les secours, les autorités… ou avec n’importe qui !
Loin d’être le remède miracle aux crises auxquelles nous faisons face, la croissance économique en est la cause première. Derrière ce phénomène mystérieux qui déchaine les passions, il y a tout un système économique qu’il est urgent de transformer.
Dans cet essai d’économie accessible à tous, Timothée Parrique vient déconstruire l’une des plus grandes mythologies contemporaines : la poursuite de la croissance. Nous n’avons pas besoin de produire plus pour atténuer le changement climatique, éradiquer la pauvreté, réduire les inégalités, créer de l’emploi, financer les services publics, ou améliorer notre qualité de vie. Au contraire, cette obsession moderne pour l’accumulation est un frein au progrès social et un accélérateur de l’effondrement écologique.
Entre produire plus, et polluer moins, il va falloir choisir. Choix facile car une économie peut tout à fait prospérer sans croissance, à condition de repenser complètement son organisation.
C’est le projet de ce livre. Explorer le chemin de transition vers une économie de la post-croissance.
Timothée Parrique est chercheur en économie écologique à l’Université de Lund, en Suède.
json.visuals.zip
JSON Style Templates for ChatGPT by @hckmstrrahul
Des événements qui, il y a peu, relevaient de l’improbable, de scénarios du pire, ou de la dystopie, sont désormais notre quotidien. La science-fiction est devenue notre réalité. Nous vivons dans un chaos qui s’intensifie même si, ici ou là, fleurissent sur les ruines du capitalisme des utopies concrètes, localistes et réalisables, des cabanes et des refuges. Mais ces utopies ne sont-elles pas souvent concédées, dans les marges, par ceux-là mêmes qui promettent la colonisation de l’espace et les cités autosuffisantes pour milliardaires ?
Il y a urgence à revendiquer des lieux où se déploieraient en totale liberté nos imaginaires. L’utopie radicale peut répondre à l’extrémité des désastres actuels et à venir. Nous pouvons et devons rêver de technologies et de rencontres intergalactiques émancipatrices et ne pas laisser ce pouvoir aux seuls capitaines des vaisseaux capitalistes.
Face à la catastrophe, oserons-nous rêver d’autres mondes ?
Secouez-vous les idées - une publication du CESEP
: " C'est nouveau, ça vient de sortir, c'est la mode... " Pourquoi ces discours font-ils vendre ? Comment expliquer qu'un produit mis récemment sur le marché paraisse plus désirable et plus fiable que les autres, aussitôt déclassés et considérés comme vieux, dépassés, obsolètes ? Au gré de la diffusion du capitalisme depuis le XVIe siècle, la nouveauté est devenue un étalon de valeur. Dans la publicité et la communication des entreprises, elle est appliquée à tout et n'importe quoi, n'importe comment : des voitures restent nouvelles un an, des styles vestimentaires le redeviennent tous les vingt ans, des objets jetables le sont pendant quelques minutes, voire quelques secondes... Pourtant, en dépit de leur obsession pour le sujet, économistes et marketeurs peinent à définir la nouveauté et à justifier l'aura qu'ils lui prêtent. Ils sont incapables de mesurer le nombre de " nouveaux produits " commercialisés chaque année et constatent que la grande majorité de ces " lancements " échouent, cette offre ne répondant à aucune demande. Les acteurs du marché n'en continuent pas moins à encourager et à encenser l'" innovation ". Cet ouvrage raconte comment, par leurs discours et leurs pratiques, marketeurs, publicitaires, économistes, mais aussi négociants, managers, politiques, designers ou scientifiques ont construit la nouveauté et sa valeur, sous des formes variées, absurdes, agressives. Du commerce colonial vantant les produits " exotiques " aux promesses de " progrès " et de " modernité " mécanique, électrique ou numérique, en passant par la " mode ", le " style " ou les produits jetables, il s'agit toujours de prêter aux consommateurs, et surtout aux consommatrices, un désir incontrôlable de nouveautés, afin de légitimer un modèle économique dévastateur : acheter, jeter, racheter. Prix de l'essai EcoloObs 2025
Page d'accueil du magazine de critique sociale pour grand public Frustration Magazine sur lequel vous pourrez retrouver nos dernières vidéos et articles pour mieux comprendre l'actualité politique, économique et sociale ainsi que toutes nos analyses sur la guerre en cours que mène la bourgeoisie contre les travailleuses et travailleurs.
Reprendre la main sur le travail
Un livre-manifeste qui déconstruit le mythe du travail et questionne l’ordre établi.
En un temps record, l’intelligence artificielle rédige, synthétise, et crée avec une pertinence stupéfiante. Pourtant, l’IA générative ne nous rend pa
Un essai comme un roman. Un dialogue animé entre un père, éthicien de l’IA, et son fils, curieux et passionné. Un soir, à la maison, tout en préparant de délicieuses pâtes, le père et le fils explorent ensemble les thèmes de la confiance et des risques dans le domaine de l’IA, réfléchissant sur la profession à la fois ancienne et innovante d’éthicien. Leur échange est enrichi par l’intervention d’un oncle excentrique, dont l’éloquence étrange et l’approche zen ouvrent de nouvelles perspectives sur la morale. Tous les ingrédients sont réunis, dans un bon équilibre, afin de rendre possible la compréhension des enjeux de l’éthique de l’AI. Et surtout, pour comprendre que la philosophie ne cherche pas à réduire l’incertitude avec des solutions universelles, mais plutôt à naviguer dans cette zone grise, en prenant en compte l’incertitude, sans chercher à la détruire artificiellement. –> Sommaire (.PDF)